Employée ayant des problèmes psychiques après le Covid : quand l’assureur peut-il exiger un changement d’activité ?

Une employée de commerce, Madame Z, ayant travaillé durant 25 ans, aurait droit, en cas de maladie, à 730 indemnités journalière sous déduction d’un délai d’attente de sept jours, selon l’assurance collective de son employeur. Elle tombe en dépression et elle est licenciée. En plus, elle développe une phobie de contamination par la Covid, notamment parce que son père est décédé de ce virus. Elle est de plus en plus isolée, ne voyant plus ses enfants et petits- enfants. Selon son psychiatre, elle ne peut plus exercer une activité quelconque exigeant un contact avec autrui, mais seulement du télétravail à domicile. L’assureur cesse de verser ses prestations après 301 jours. L’assuré réclame encore 412 indemnités journalières soit au total plus de 58 000 Fr. Le tribunal cantonal du Jura lui donne raison, mais l’assureur recourt au tribunal fédéral (TF).

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Comment établir le degré d’invalidité pour un salarié qui n’a pas bénéficié d’augmentations pendant longtemps ?

M. A., né en 1963, subit un accident en 2017. Il est licencié en 2018. L’assureur LAA SUVA lui accorde une rente de 16% dès le 1er novembre 2020. Sur recours, le Tribunal des assurances du canton de St-Gall augmente la rente à 23%. La SUVA fait un recours au Tribunal fédéral (TF), afin que le 16% décidé par elle soit validé.

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