Choc psychique reconnu comme conséquence d’accident

Sous l’influence de l’alcool, un homme pénètre le 18 mars 2017 dans un appartement et menace un couple et leurs trois enfants mineurs au moyen d’un pistolet. Il place celui-ci contre la poitrine de l’homme. Toute la scène dure environ 20 minutes et finalement cet homme se retire.

Le choc psychique subi par l’homme menacé entraîne chez lui une invalidité que la Suva refuse finalement de reconnaître comme étant en lien de causalité adéquat avec l’attaque. L’assuré recourt contre la décision négative de la Suva, mais n’obtient pas gain de cause auprès du tribunal cantonal argovien. Il saisit donc le Tribunal fédéral (TF).

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